là tout de suite quand je pense à H, j’éprouve une grande tendresse et un manque. Je le vois comme quand il est quand il est gentil. Mais je ne peux pas le forcer a etre gentil.
je pense à nos sorties, a sa gentillesse.
qu’est-ce qui se passe en moi ? j’arrive pas à le définir.
la gentillesse je peux la trouver chez plus d’autres hommes.
je ressens un espèce de contrat moral que je ne veux pas trahir sous peine qu’il soit définitivement rompu. alors est-ce que ca veut dire que le contrat n’et pas rompu. Je le crois.

Maryse semble vouloir deux choses contradictoires. Elle veut faire pour ne pas entrer dans le conflit. et elle désire que l’autre fasse ce qui lui ferait plaisir sans qu’elle n’aie rien à dire. Mais ca marche pas parce que c parait si confortable de se laisser chouchouter surtout qd on est si bien habitué.

comment appliquer cet exemple au miens ?

entrer dans le conflit veut dire bcp de patience. ca voudrait dire qu’il faut que j’attende qu’il se calme, sinon je me fais jeter. Ensuite il faut attendre une demande une attente. et là je retrouve la main.
Sinon, il faut que j’accepte la situation comme elle est, c’est à dire : propos chargés d’agressivité, peu d’effort pour m’aider à me sentir mieux, indifférence, soumission.

ah la la c dur !