que de lutte en moi de questions qui tournent en rond

mieux

oui mieux comme par magie, comme ça, un coup de fil, un apaisement et hop, les idées s’envolent.

Je ne me souviens plus de ce que j’ai écrit quelques heures auparavant. Je pourrais réfléchir mais je n’en ai pas envie, je préfère mon bien-être. C’est pourtant la raison de ce journal, écrire, poser, pour que la partie de moi qui est bien puisse relire la partie de moi qui va mal. Mais je n’en ai jamais le courage, et quand par hasard, je tombe sur des écrits qui datent, ça me fait un effet torride. Tout ce que j’écris c’est comme si je venais de l’écrire.

Je me bats pour m’en sortir. Qu’est ce que ça veut dire m’en sortir ? ? Rien ne change. Pourquoi essayer de s’en sortir si je fais des efforts pour rien ? ?

Et si j’apprenais à vivre comme ça, avec mes peurs, puisqu’il parait que c’est normal et même sain, avec des défauts, puisque ils font parti de ce que je suis ! !

J’en arrive au mot acceptation.

J’ai une immense chance, c’est d’être avec quelqu’un qui vit le présent comme il est. C’est simple avec lui, "c’est", ce n’est pas ce sera, c’est "c’est".

Je vous aime tous, humain en errance sur notre jolie terre, à nous battre pour protéger notre petit égo en espérant aller un peu mieux.