que de lutte en moi de questions qui tournent en rond

une fin, encore une, une de plus

voilà on est jeudi 15, j’ai dit à Azed que je souhaitais rompre mardi soir. Pas de lutte, monsieur est orgueilleux, il ne va pas se rabaisser à ça ! Mais un choc ! il m’a dit : tu te rends compte de ce que tu fais, tu me jètes. Non je ne le jetais pas, j’ai juste fait un bilan. Il n’avait qu’à me proposer des solutions, j’étais toute prête à discuter, à faire des efforts s’il acceptait de m’aider, par exemple en cessant de faire la gueule. Il aurait pu par exemple me prendre dans ses bras et voilà. Non c’est pas possible, il lui faut du temps pour digérer sa blessure d’orgueil. Combien de temps je ne sais pas, mais pour moi, cette tension était insupportable et me faisait mal réagir, ton sec, jouer à tetris, garder mes distances. Mais tout ça lui déplaisait. Il fallait que comme par magie, je redevienne douce en attendant qu’il se calme (qu’il se venge on aurait dit).

je prends à témoin ce journal. Sa colère, la haine qu’il cultive, va le protéger un certain temps, jusqu’à ce qu’il éprouve un manque. Là, il aura deux solutions, chercher qlq un d’autre ou retenter avec moi. Mais voilà, trouvera t-il une femme comme moi qui a eu tant de patience, aimer ses marmots ... je devrais lui souhaiter, mais j’en ai pas le coeur, ce serait comme je n’avais été rien, quelqu’un qu’on prend par besoin et qu’on remplace.
faut pas que je raisonne comme ça.
Il faudra que je revienne sur cette pensées.