quand je pense à toi, j’ai envie de dire "je t’aime, je t’aime...", c’est en moi, ça grandit.
on va faire avec, je risque juste d’être déçue. Par bonheur, j’ai le temps de réfléchir.
Mais toi Joël pourquoi tu n’as pas tenté de me voir plus toi, pourquoi tu ne m’as fait un petit trou dans ton emplois du temps.
J’ai bien un début de réponse. Mais je me demande si toi aussi, tu n’as pas peur de la déception ou bien tu as peut-etre peur de t’engager.
Ne dressons pas des plans sur la comète, ça sert à rien je n’aurai pas la réponse. Par contre, je pourrais te demander.

Tu me manques, j’essaie de m’en empêcher mais c’est plus fort que moi.
Heureusement, je me suis bien installée dans ma petite vie tranquille avec ses petites joies quotidiennes. Ca s’est bon.
Et puis, je ne me sens pas prête pour t’accueillir. Ici, c’est la Bord..Il faut que je range mes affaires, mes petits papiers, mes habits ... Je pense au jardin en ce moment. Il faut que je règle le problème des poissons, un peit tour au garage serait pas de trop, repeindre les wc, ça serait sympa...
Et puis j’aimerais peindre, reprendre le tricot, et surtout l’homéo.

Beaucoup de boulot tout ça, travail assuré pour 3 mois.
Tout l’été sans toi, loin de toi, toi en moi, mon rêve, mon amour en puissance, je pense à toi, et ça flambe en moi dans tout les sens du terme.